Call of Duty: Black Ops 7 a été officiellement révélé lors du Xbox Games Showcase 2025. Le jeu est développé par Treyarch et Raven Software, et il marque un retour à un univers futuriste situé en 2035, soit 40 ans après Black Ops 6. La narration se concentre sur un monde au bord du chaos, ravagé par des conflits et une guerre psychologique, avec une équipe menée par David Mason, qui doit lutter contre un ennemi manipulateur utilisant la peur comme arme.
Le teaser ne manquera pas de faire tiquer @Arken qui n'aime pas l'IA :
Si Dieu existe, alors il a le sens de l'humour. Parce que sortir le pire Call of Duty de l'histoire juste après le grand retour de Battlefield, c'est quand même très drôle, style « Tahiti Bob se prend un râteau comiquement grand ». Call of Duty : Black Ops 7 est l'épisode de trop après l'épisode de trop, celui qui démontre par l'exemple que Treyarch, Raven Software et Infinity Ward sont tous complètement exsangues et que la franchise n'est plus qu'une monstrueuse chimère qui s'écroule sous son propre poids. Du mode Zombies opaque pour les néophytes à un multijoueur toujours plus agressif jusqu'à cette ridicule campagne qui essaie de jouer la carte de la nostalgie tout en déféquant allègrement sur l'histoire de Black Ops 2, ce dont l'absurdité crève les yeux, il s'agit de la phase terminale d'une franchise qui devrait recevoir les soins palliatifs ou, tout du moins, passer d'heureuses vacances sur une plage tropicale pour revenir plus forte dans quelques années, mais qui se retrouve à trimer chaque année boulet au pied jusqu'à découvrir une nouvelle évolution du burn-out. Ce que les parodies et insultes des années 2010 ont imaginé, Call of Duty : Black Ops 7 l'est devenu. Triste naufrage.